chasseur de relique du sanctuaire de sylvanes

le jour se léve

un matin à la colo

Le soleil  apparaît à peine, les enfants dorment encore, je me lève avec la satisfaction de voir une nouvelle journée  s’annoncer. Je sort de ma chambre, le couloir est à peine éclairé  par les premiers rayons de soleil qui réussissent à pénétrer et joue avec le vieux carrelage aux ombres chinoise. Je passe devant les chambres des colons en tendant l’oreille, pour guetter les premier prémisses de leur réveille, rien tout est calme je peu continuer et apprécier le rituel d’une toilette matinal. De retour  je m’habile chaudement les matinées sont fraîche dans le parc. Je descend l’escalier en colimaçon du petit bâtiment, ces marches sont large à l’extérieur et étroites  à l’intérieur, elles sont vielles et usé par le temps et par ces milliers de pieds qui l’ont foulé. A certain endroits elles brillent comme si elles s’avaient était polis jusqu’à ressembler à du marbre gris. Une magnifique rambarde noir orne cette descente, il suffit de poser la main dessus pour presque sentir toute les autres qui l’ont caressé et forgé au court de sa vie. Tout en haut en ce penchant on a une vue plongeante et en forme de spirale,  qui vous donne le vertige. Le calme règne à tous les étages, mais cette instant est éphémère  car bientôt il laissera la place aux bouillonnement de voix, de rire, de porte qui s’ouvre et ce ferme, de plancher qui craque sous les pieds des enfants,  la vie reprendra ces droits. Me voila devant la lourde porte en bois massif, je marque une pose comme pour apprécier ce moment,  je ferme les yeux, je peu aisément deviner ce qui m’attend dehors.

Je l’ouvre et là, je suis devant un spectacle magnifique, tous les matins j’aurai beau pousser cette porte jamais je ne me lasserai de voir ce tableau, il si dégage comme une sérénité, difficile à expliquer, tous mes sens sont en éveille et ce nourrisses de ces moments présent. Je suis sur le pas de la porte, devant mois le chemin qui mène au grand bâtiment, il est bordé des deux cotés de platanes géant ils sont plus de cent ans ils cachent le ciel tellement leurs feuillage sont dense . Sur la droite la petite fontaine qui joue une douce musique limpide et claire, derrière elle une allée de buis qui parfume l’atmosphère  et laisse deviner un autre chemin. Le parc est présent tout autour immense et magnifique, les arbres y sont rois, l’air est frais, un peu humide, la rosé est présente sur la végétation, pas un brin de vent. La haut caché ont entant les pic-vert et leur bec qui résonnent sur les branches. D’un bout à l’autre du parc Certain oiseaux ce défis de leur plus beaux chants.  Je m’engage sur le chemin le gravier craque sous mes pieds, j’observe avec intérêt tous ce qui m’entoure, histoire de faire une rencontre imprévus, les animaux y on élu domicile, si on prend le temps et surtout en faisant le moins de bruits possible on peu ce régaler de la visions d’un petit écureuil sautant de branches en branches. Là sur ma droite la grange trône majestueusement, avec ces pierres apparente elle a traversé le temps, par endroit la nature à repris ces droits, des arbres si  s’ont invité et ce sont glissé parmi les murs. A côté  le jardin de monsieur do . Je suis à la hauteur du muré du grand bâtiment où les enfants aime s’asseoir et jouer dessus. Je passe par le couloir des douches, au sol de belle dalle carré aussi ancienne que le bâtiment, de suite à droite il y as le souc, juste après de porte battante qui mène aux salles d’activités.

Je continue, l’air et chaud, humide, mes pas résonnent, de magnifique petites colonnes m’invite à rentré ce sont les douches aux eaux chaude et naturel, elle sort de terre pour nous régénérai. Un magnifique vitrail circulaire et d’époque orne ce parcours. Je franchi une autre portes, pour me retrouver dans le hall principale avec ces escaliers de marbre blanc, lorsque j’étais petit cet endroit me paraissait immense et solennel, digne d’un grand palais, la lumière pénètre en hauteur par deux grandes fenêtres qui éclaire cette grande cathédral. Situé au centre du grand bâtiment, il permet d’avoir axé à plusieurs endroit, la cours intérieur, l’entré principale qui mène là aussi à la grande allée, il est l’axe de ce grand édifice  en forme d’immense U. À nouveaux en face de moi de l’autre coté du hall deux portes battante, je m’engouffre dans un couloir aussi long mai plus frai que celui que j’ai emprunté, on sent les murs épais qui le cloisonne, le soleil à du mal à pénétré, seul une lumière au fond comme dans un tunnel, me guide et m’ébloui à la fois. Je me trouve juste à côté d’une petite ouverture, un passe plat en forme de petite niche voûté qui donne sur la cuisine où s’échappe déjà les odeurs d’un repas que nous prépare jules le cuistot. Je continue à avancer sur ma gauche le petit réfectoire, j’aperçois les magnifiques vasques qui se détache du mur prêt de la buanderie. Des voix, des bruits de couverts et de bols ce font entendrent, je ne suis pas le premier, la politesse est de rigueur et je souhaite le bonjour aux personnes présente, le rituel du petit déjeuner peut enfin commencer. Un grand bol de café chaud et bien noir, deux sucre, de belle tartine au beurre et à le confiture, les grosses miche de pain sont découpé en tranche. La mis bien blanche, souple avec de gros trous, la croûte croustillante, le parfum qui se dégage de cette offrande me laisse imaginer le foyer qui la vue naître. Merci le personnel de service sans qui ce miracle n’aurais pas lieu tout les matins a fin de nous rassasier. C’est un régal de savourer ce moment, un mélange de calme de bien être qui va bientôt laissé place à un début d’animation, qui doucement ce précise. Les animateurs, le personnel de service arrive au compte goûte pour à leur tour ce restaurer. Je laisse échapper un sourire à la vue de certains adultes, cheveux en bataille, regard fatigué, allure l’ente, geste approximatif hésitant devant la tablé de condiment présenté, cette état ne mes pas inconnue. Il faut dire que les nuits sont fraîche dans le parc et peut être un peu courte. Après ce copieux petit déjeuner  je prend la direction de mon point de surveillance qui m’est attribué. À la colo tout les animateurs le matin pour le réveille échelonné ont une tache à accomplir, surveillance dans les dortoirs pour le lever, point de surveillance dans le parc, servir les enfants dans le réfectoire . aujourd’hui je suis au grand terrain de foot, j’attend les enfants avec des ballons. Mais pour l’heure je suis seul au milieu de cette immense espace vert où l’herbe humide attend d’être caressé par les premiers rayons de soleil. Je reste contemplatif devant cette nature exubérante, je suis assis sur un tapis de verdure, et mes mains caresse un ciel bleu azure. Je ferme les yeux pour mieux me concentrer sur les sons, les parfum, je ne fait q’un avec cet environnement que je connais bien, mais qui chaque jour encore me surprend.

Je savoure ce moment, où tous me force à être apaisé, calme, serein en total osmose, oubliant tous les petits traquas extérieur, ici je suis dans un autre monde, un monde situé à l’autre bout de mon esprits que je protége et garder toute sa naïveté. La lumière du soleil amorce sa descente sur la montagne, je la voie avancer comme une marée qui s’empare des terres, comme le vent qui couche les champs de blés,  je la voie l’entement envahir les étendus de sa chaleur bien faisante, elle rassure la nature, sonne le réveil des animaux qui ce cachent dans les bois, à mon tour je baigne dans cette aura  qui me nourris d’énergie et de volonté, je vais en avoir besoin, car au loin sortant des  bâtiments, les enfants arrivent, ils sont en forme, je le sais.

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